谜之夏日祭
地区:美国
  类型:神话
  时间:2025-07-18 09:57:45
剧情简介

      全片采用一镜到底的拍摄方式,夏日连续写下204位感谢对象的名字。每一个名字,都是真实的人物,每一笔书写,都是纯粹的感谢。

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明星主演
方力申
沐尔
崔振英
最新评论(721+)

幼齿少年家

发表于3分钟前

回复 :三十岁北漂多年的叶清,曾因父母的不支持放弃了跳舞。如今在服装租赁公司做着小职员,却受到公司老板的骚扰,并在最脆弱的时候未婚夫弃她而去。陷入人生低谷的叶清无意间看到舞团招募学员,犹豫再三决定抛开一切追求舞蹈梦想。在舞团叶清误打误撞结识了年轻的舞蹈老师梁磊,梁磊对叶清充满好奇并一见钟情。在梁磊的帮助下叶清进步很快,也慢慢产生了感情。但梁磊昔日舞伴于晓月的出现打破了宁静。为了得到梁磊,于晓月提出与叶清在舞蹈比赛中一较高,并使出一系列手段污蔑叶清。在一次意外中,于晓月被叶清救下后终于醒悟。最终于晓月获得冠军,同时坦诚了自己的错误。而叶清和梁磊也确认了彼此的心意,走到了一起。


董敏莉

发表于2分钟前

回复 :顾探长带着助手乔文、高彻和女儿萱琳逛街时遭遇银行抢劫,枪战中高彻躲过一枪,子弹却向身后的顾探长飞去,乔文冲上来掩护,无奈为时已晚。高彻后悔莫及,尽管他深爱着萱琳,但还是选择了退出。 两年后,乔文与萱琳结婚。顾探长生前的挚友刘局长做了证婚人。婚礼当天,乔文不仅迟到,而且前一晚竟是彻夜未归。萱琳和高彻都意识到:乔文有事瞒着大家。不久,乔文接连出事,先是一沓他与陌生女人的"艳照"被公开,随后陌生女人被害,乔文当然又卷入这场命案,因为杀人现场留有铁证--乔文的结婚戒指!面对这些,乔文百口莫辩,只好躲了起来。最初的伤痛过后,细心的萱琳终于觉察到了这一切似乎是对乔文的陷害,最关键的是,乔文的结婚戒指竟然还在家里。与此同时,高彻也循着蛛丝马迹找到了幕后的线索,他查出乔文被陷害似乎与当年的银行抢劫案有关联。高彻还查出,艳照上的女人是一个舞女,而艳照的拍摄地点就是戏院。高彻潜入戏院,竟意外发现刘局长的儿子和两个神秘男人在一起,而失踪了的乔文正躲在一旁偷偷拍照!究竟是谁在暗中陷害乔文?他们又为何单单选择陷害乔文?当真相一步步揭开的时候,痛苦也逼近了……


梁宇翀

发表于3分钟前

回复 :Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.« Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »Jonas Mekas« Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »Jonas Mekas, 1972« Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997« Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000


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