该片讲述的是摸金校尉胡八一、精品Shirley杨、精品王胖子为解开雮尘珠的秘密,与想要找到“水晶尸”的香港古董商人明叔一行人组成探险队,共同前往古格王国的遗址、喀拉米尔的龙顶冰川寻找古格银眼、冰晶尸骨,却意外遭遇神秘巨兽大白猿以及白狼王等危机,几经波折最终脱离险境的冒险故事。
该片讲述的是摸金校尉胡八一、精品Shirley杨、精品王胖子为解开雮尘珠的秘密,与想要找到“水晶尸”的香港古董商人明叔一行人组成探险队,共同前往古格王国的遗址、喀拉米尔的龙顶冰川寻找古格银眼、冰晶尸骨,却意外遭遇神秘巨兽大白猿以及白狼王等危机,几经波折最终脱离险境的冒险故事。
回复 :2020年1月20日,美国和韩国都发现了首例新冠肺炎病例。然而,9个月后,新型冠状病毒已经夺走了20多万美国人的生命,并造成了惊人的经济损失;而在韩国,没有明显的封锁,在5100万城市化人口中,只有344人丧生。美国哪里出错了?随着总统大选的临近,美国人越来越对明确的领导层的缺位和普遍存在的政治腐败感到愤怒,他们不禁想知道,世界上最富强的国家是如何在应对全球流行病方面如此、彻底失败的?学院奖加身的电影人亚历克斯·吉布尼(Alex Gibney)与奥菲莉亚·哈鲁图尼扬(Ophelia Harutyunyan)和苏珊·希林格(Suzanne Hillinger)共同执导,在《完全受控》中审视了该问题及其破坏性影响。通过来自公共卫生官员的谴责证词和严厉的调查性报道,吉布尼揭露了由于总统领导层的严重玩忽职守而导致的全系统崩溃。美国需要一代人的时间才能知道这场流行病造成的全面破坏,但《完全受控》将成为特朗普政府面对这场全球流行病的无能、腐败和否认的最终解释。
回复 :Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.« Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »Jonas Mekas« Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »Jonas Mekas, 1972« Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997« Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000
回复 :年过半百的阿海,一直在陶瓷厂工作。然而在即将退休的年龄,工厂经营不善而倒闭。工厂倒闭后不久,厂家将厂地承包给建筑商,准备在厂地新建楼房。阿海和同事与厂方签订了搬迁协议,然而陆续搬出的同事赔偿款都没能兑现。阿海九叔等一些员工见状拒绝搬迁,留守在工厂提供的养老住房。为了能保住晚年的安身之所,工人们与建筑商周旋着,建筑商也不是省油的灯。警察从近期的几起意外死亡事件里察觉到一些联系,而这矛头都指向建筑商任少杰……