乔治·华盛顿
地区:韩国
  类型:韩国
  时间:2025-07-15 15:00:55
剧情简介

60年代初,乔治从美国留学回来的科学院博士耿尔满怀报国热忱,乔治有一天在外文书店碰到了纺织女工薛晴。他被薛晴的的美丽和质朴吸引,薛晴也被耿尔的才华所折服。两个人都沉浸在幸福当中的时候,文革开始了。薛晴受到了种种政治上的冲击,耿尔则被下放参加劳动。有人给耿尔介绍了一个对象,桂林的小学老师小金。他们见面了,觉得很满意,渐渐地也相爱了。但是由于家庭出身的原因,他们两个还是不能结合。很多年后,当耿尔再见到薛晴的时候,她已经是个中年妇女了。小金也出现了,但是她已经嫁给了一个她不爱的人

4次播放
32人已点赞
65人已收藏
明星主演
黄威尔
申承勋
渡边健二
最新评论(114+)

郭凌霞

发表于5分钟前

回复 :莉莉(米拉•乔沃维奇Milla Jovovich 饰)和理查德(布莱恩•克劳斯 Brian Krause 饰)在他们还是小婴儿的时候就相遇了,不幸的是,他们所乘坐的游船发生了船难,全部的乘客,除了她两和一个幸运的女人外,全部都遇难了。三人漂流岛了一座荒岛之上,在那里,女人凭借着自己的智慧和伟大的母性将莉莉与理查德抚养长大,也就是说,这两个孩子从小到大都未曾体会过所谓的社会规则,是真真正正的“野孩子”。随着年龄的增长,莉莉和理查德逐渐进入了青春期,朝夕相对的两人之间产生了纯洁的情感,他们发誓要相伴终生。一天,一艘船经过了他们所在的岛屿,船长的女儿对查理一见钟情。


上田正树

发表于1分钟前

回复 :琪琪(莱斯利·卡伦 Leslie Caron 饰)是一个美丽天真的少女,自小被祖母抚养长大的她养成了自由又不羁的性格。祖母希望琪琪能够成为一位出入上流社会的淑女,为此,她将琪琪送往了她的姨妈家接受特殊的训练课程。在姨妈家,琪琪遇见了帅气多金的加斯东(路易斯·乔丹 Louis Jourdan 饰),在琪琪年幼的时候,他们早已相识,而此时的琪琪已然出落成为了亭亭玉立的模样,这让加斯东的内心荡漾起了涟漪。祖母将加斯东对琪琪的感情全都看在了眼里,开始想方设法撮合两人。一番波折后,琪琪和加斯东终于两情相悦了,加斯东不仅送给琪琪珍贵的珠宝,还带着她出入各类上流社会的高档舞会。面对突如其来的荣宠,琪琪有些得意忘形,而她的所作所为没有逃过加斯东的双眼。


李茏怡

发表于3分钟前

回复 :Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.« Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »Jonas Mekas« Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »Jonas Mekas, 1972« Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997« Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000


猜你喜欢
乔治·华盛顿
热度
6
点赞

友情链接:

魅醒时分>霹雳彩虹>突然心动>辩魔士塞西尔>邻家心理医生>许你万千宠爱>美妙天堂 偶像时间>雏蜂>海狼(下)>“字”从遇见你>