讲述问题少年威尔·霍金斯因触法而面临人生的十字路口,紫罗他必须选择要被关进少年观护所,紫罗或者参加基督教夏令营。被迫来到夏令营的威尔刚开始浑身不自在,但他渐渐敞开心房,与经常参加营队活动的女孩生出爱情,最后还意外找到了他自己渴望已久的归属感。
讲述问题少年威尔·霍金斯因触法而面临人生的十字路口,紫罗他必须选择要被关进少年观护所,紫罗或者参加基督教夏令营。被迫来到夏令营的威尔刚开始浑身不自在,但他渐渐敞开心房,与经常参加营队活动的女孩生出爱情,最后还意外找到了他自己渴望已久的归属感。
回复 :导 演:曹桂千编 剧:曹桂千、藤洋、马永佳主 演:郑铮、刘梦皎、梅思成、善为群、李天翔、姬晨牧、李佩霖片 种:美术片出品单位:北京晶晨文化艺术交流有限公司长 度:89分钟出品年代:2008剧情简介为了营救废墟下的女儿,母亲挖刨的双手鲜血淋漓,为了让母亲远离死亡的威胁,女儿在废墟里一声声哭喊“妈妈,你走!妈妈,你走啊!”让我们痛彻心扉,这是人间最美好的感情,生死不离的感情,而妈妈自己的生命则被余震倒塌的房屋吞噬,女儿被营救出来后,用泪水和坚强为母亲送行“妈妈!别哭!”
回复 :Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.« Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »Jonas Mekas« Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »Jonas Mekas, 1972« Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997« Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000
回复 :徐天鹤(王引 饰)和妻子(蝴蝶 饰)结婚多年,夫妻两人的感情一直非常的恩爱,他们唯一的遗憾就是无法拥有一个属于他们的孩子。邻居家一个名叫阿琳(王爱明 饰)的小女孩,因为不受父亲和继母的喜爱,常常孤独的一个人在后门玩,她唯一的朋友是一只小猫。不忍心看到阿琳寂寞的样子,徐天鹤夫妻两人经过同邻居的协商,决定领养阿琳。在徐家,阿琳终于感受到了家庭的温暖和亲人的呵护。就在一家人其乐融融之际,阿琳的亲生母亲史小姐(李香君 饰)忽然现身,想要带走阿琳,这一举动自然遭到了徐天鹤夫妻的拒绝,可是史小姐实在舍不得女儿,于是以探望孩子为理由,成为了徐家的常客。